Europe Ecologie : LA NATURE NE NÉGOCIE PAS !

Pilier Bio diversité des propositions de Europe Ecologie : LA NATURE NE NÉGOCIE PAS !

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PROTÉGER LA BIODIVERSITÉ, C’EST INTÉGRER L’IMPÉRATIF DE LA NATURE DANS LES POLITIQUES SECTORIELLES

NOUS ASSISTONS À LA SIXIÈME GRANDE CRISE D’EXTINCTION DES ESPÈCES sur la Terre. Depuis 1950, l’Europe a perdu plus de la moitié de ses zones humides et la valeur biologique de la plupart de ses terres s’est fortement appauvrie.
La majorité des grands stocks halieutiques se situent sous les limites biologiques de sécurité et ne peuvent plus assurer le renouvellement des stocks à long terme. 800 espèces végétales sont menacées d’extinction totale. Plus de 40 % des mammifères indigènes, des oiseaux, des reptiles ou encore des papillons sont en péril.

LA BIODIVERSITÉ EST ESSENTIELLEMENT VICTIME D’UNE AGRICULTURE INTENSIVE, des changements climatiques, de l’imperméabilisation des sols, de l’artificialisation du territoire, de la surpêche…

Protéger la biodiversité, c’est donc intégrer l’impératif de la nature dans les politiques sectorielles : infrastructures de transport, urbanisme, agriculture, pêche, gestion forestière. L’Europe s’est déjà dotée d’outils et d’objectifs (Natura 2000, directives oiseaux et habitats, objectifs de Göteborg…) mais cela reste insuffisant.
Ainsi l’adoption de la Directive- Cadre sur les sols ne peut plus être repoussée.

PLUS DES TROIS-QUARTS DE LA PLANÈTE SONT OCCUPÉS PAR LES OCÉANS qui constituent le régulateur complexe de la vie sur terre et le plus grand réservoir de biodiversité. Cette dernière est aujourd’hui menacée par les pollutions dont plus de 90 % proviennent du continent, l’acidification des eaux, le réchauffement climatique, la densification de la population dans les zones côtières et la surpêche.Les pays européens ont une responsabilité toute particulière et des engagements à respecter.